Face à une très grosse équipe de Strasbourg,
dont nombre de joueurs faisaient partie du groupe CFA, Metz a fait bloc assez
bas et pratiqué le contre. En début de rencontre, cette stratégie
lui permit de se procurer quelques occasions, sans succès. Puis, suite
à un centre d’Aribi, Bourgeois parvint à se saisir du ballon
pour trouver la faille (0-1, 25°). Une joie de courte durée puisque
l’égalisation alsacienne intervint dans les minutes suivantes sur
un numéro solitaire du numéro neuf des Bleu et Blanc (1-1, 33°).
Heureusement pour Metz, Aribi redonna l’avantage aux siens en concluant
d’un plat du pied une ouverture de Nativel (1-2, 39°). Heureusement,
car Olivier Perrin fut contraint de sortir sur blessure Sieber et Geisbuch,
deux de ses défenseurs, à la mi-temps.
La seconde période vit les Messins persister dans leur attitude d’attente.
Malgré quelques occasions de part et d’autre, le score ne bougea
pas, un brin de réussite accompagnant les visiteurs en toute fin de partie.
« Nous avons remporté la rencontre la plus difficile des trois
que nous avons jouées », remarque le coach mosellan. Son homologue
Claude Fichaux regrette quant à lui les erreurs commises par son arrière-garde.
« A chaque fois contre Metz, dit-il sur le site du Racing,
on a l’impression de faire un bon match mais, au final, on perd toujours.
» Sauf en Coupe Gambardella, l’an passé, tout de même…
dont nombre de joueurs faisaient partie du groupe CFA, Metz a fait bloc assez
bas et pratiqué le contre. En début de rencontre, cette stratégie
lui permit de se procurer quelques occasions, sans succès. Puis, suite
à un centre d’Aribi, Bourgeois parvint à se saisir du ballon
pour trouver la faille (0-1, 25°). Une joie de courte durée puisque
l’égalisation alsacienne intervint dans les minutes suivantes sur
un numéro solitaire du numéro neuf des Bleu et Blanc (1-1, 33°).
Heureusement pour Metz, Aribi redonna l’avantage aux siens en concluant
d’un plat du pied une ouverture de Nativel (1-2, 39°). Heureusement,
car Olivier Perrin fut contraint de sortir sur blessure Sieber et Geisbuch,
deux de ses défenseurs, à la mi-temps.
La seconde période vit les Messins persister dans leur attitude d’attente.
Malgré quelques occasions de part et d’autre, le score ne bougea
pas, un brin de réussite accompagnant les visiteurs en toute fin de partie.
« Nous avons remporté la rencontre la plus difficile des trois
que nous avons jouées », remarque le coach mosellan. Son homologue
Claude Fichaux regrette quant à lui les erreurs commises par son arrière-garde.
« A chaque fois contre Metz, dit-il sur le site du Racing,
on a l’impression de faire un bon match mais, au final, on perd toujours.
» Sauf en Coupe Gambardella, l’an passé, tout de même…