Non pas que sa façon de faire porter le chapeau à
ses anciens coéquipiers étonne, il ne fait aucun doute que la
descente en L2 n’est pas de sa responsabilité... Mais au cours
de cette interview, il met clairement en cause toutes les composantes du club
en déclarant qu’ « ils (les gens, à Metz)
peuvent tous monter en tribune avec un uniforme de nazi. » D’une
part, cette comparaison est extrêmement choquante dans la mesure où
la Lorraine fait partie des régions qui ont énormément
souffert de l’occupation. D’autre part, les valeurs sur lesquelles
le FC Metz s’appuie depuis de nombreuses années sont diamétralement
opposées au racisme, un phénomène que le club ne se réjouit
pas de voir apparaître dans les stades de football.
Il est inutile de préciser que les joueurs de couleur ont souvent, par
le passé, occupé une très bonne place dans le cœur
des supporters mosellans. On peut citer Bocandé, Song, Niang, Songo’o
ou encore Maoulida, Curioni et pourquoi pas Mondragon, histoire de faire le
tour du globe. Au cours de l’entretien, monsieur Ouadah met également
en doute le côté familial du FC Metz. Précisons que le soir
d’un certain Metz – Troyes, où la relégation en Ligue
2 a pris un caractère définitif, plus d’une centaine d’anciens
joueurs se sont retrouvés à l’issue de la rencontre, dont
certains avaient beaucoup de peine à retenir leur émotion. La
fraternité, les liens qui les unissaient au FC Metz et à ses dirigeants
ne faisaient alors aucun doute. Tout cela pour dire qu’un club, c’est
aussi ce que les joueurs du moment en font…
ses anciens coéquipiers étonne, il ne fait aucun doute que la
descente en L2 n’est pas de sa responsabilité... Mais au cours
de cette interview, il met clairement en cause toutes les composantes du club
en déclarant qu’ « ils (les gens, à Metz)
peuvent tous monter en tribune avec un uniforme de nazi. » D’une
part, cette comparaison est extrêmement choquante dans la mesure où
la Lorraine fait partie des régions qui ont énormément
souffert de l’occupation. D’autre part, les valeurs sur lesquelles
le FC Metz s’appuie depuis de nombreuses années sont diamétralement
opposées au racisme, un phénomène que le club ne se réjouit
pas de voir apparaître dans les stades de football.
Il est inutile de préciser que les joueurs de couleur ont souvent, par
le passé, occupé une très bonne place dans le cœur
des supporters mosellans. On peut citer Bocandé, Song, Niang, Songo’o
ou encore Maoulida, Curioni et pourquoi pas Mondragon, histoire de faire le
tour du globe. Au cours de l’entretien, monsieur Ouadah met également
en doute le côté familial du FC Metz. Précisons que le soir
d’un certain Metz – Troyes, où la relégation en Ligue
2 a pris un caractère définitif, plus d’une centaine d’anciens
joueurs se sont retrouvés à l’issue de la rencontre, dont
certains avaient beaucoup de peine à retenir leur émotion. La
fraternité, les liens qui les unissaient au FC Metz et à ses dirigeants
ne faisaient alors aucun doute. Tout cela pour dire qu’un club, c’est
aussi ce que les joueurs du moment en font…