Ce jeudi 27 mai, à l’occasion d’une émission spéciale diffusée sur Moselle TV et sur la page Facebook du club grenat, le Fc Metz a dévoilé sa nouvelle identité visuelle.
Animé par l’envie de se moderniser à travers de nouvelles infrastructures sportives comme le centre d’entraînement basé à Frescaty ou encore le Stade Saint-Symphorien largement rénové, et après avoir mis en place un projet de club ambitieux qui porte ses fruits, le Fc Metz poursuit sa marche en avant. Le club messin a en effet décidé de faire évoluer son identité graphique, et a dévoilé en ce sens sa nouvelle image.
En mettant à l’honneur d’une part la Croix de Lorraine, tout en lui donnant une forme plus singulière et élégante, et d’autre part la couleur grenat, le Fc Metz choisit de mettre en lumière son histoire et de réaffirmer ses valeurs. Le choix de la Croix de Lorraine n’est pas le fruit du hasard : elle est le symbole représentant le mieux le Fc Metz pour 69% des supporters récemment sondés.
Historiquement attaché à cet emblème, le Fc Metz est d’ailleurs le seul Club autorisé à utiliser la Croix de Lorraine, à la suite du traumatisme vécu pendant la Seconde Guerre Mondiale. C’est avec fierté que les Grenats arborent ce symbole depuis 1945 sur leur tunique. Il évoque bien évidemment la résistance, mais aussi et surtout le courage, l’abnégation et la loyauté, des valeurs chères aux supporters messins, et plus généralement aux Lorrains, fidèles à leur ancrage régional.
Tout en modernisant son logo, le Fc Metz se dote également d’une nouvelle identité visuelle forte. Cette identité s’articule désormais autour d’une armure de métal et de flammes, symbolisées par l’introduction d’une couleur orange énergie. Ces éléments graphiques sont ainsi inspirés de l’acier et du feu, qui ont forgé le caractère de la Lorraine à travers la sidérurgie et la houille, mais qui ont également façonné la légende du Graoully.
Le Graoully justement reste bien entendu une figure puissante de l’identité du Club puisqu’il aura toute sa place dans l’identité visuelle, mais aussi et surtout dans le Stade Saint-Symphorien dont il est le gardien, comme il l’a été pour l’amphithéâtre de la ville au IIIème siècle de notre ère.