Branle-bas de combat au Centre Technique de la Plaine de
Jeux, en ce lundi 30 octobre. Toute l’équipe des éducateurs
du Club à la Croix de Lorraine était ‘réquisitionnée’
pour assurer le bon déroulement de cette opération de détection.
Sur toute la journée, 226 apprentis footballeurs étaient attendus
à la Plaine. Par bonheur, le soleil s’est invité à
la fête pour offrir aux entraîneurs, joueurs et accompagnateurs
une journée agréable. Là où, 25 jours plus tôt,
il eut été impossible de pratiquer un autre sport que le water-polo
!
A l’inverse du climat lorrain, les encadrants n’eurent pas de sautes
d’humeur, Sébastien Muet en tête. Olivier Perrin, sur le
carré de jeu synthétique, fut chargé d’évaluer
la vitesse de chacun à l’aide d’un système de capteurs
(voir ci dessous) tandis que ses collègues supervisaient les rencontres.
2*25 minutes de match pour les équipes formées de 10 joueurs pour
les plus âgés (94 et 95), 7 pour les plus jeunes (96, 97 et 98).
« Il s’agit pour nous de détecter les joueurs ayant un
ou plusieurs points forts, explique Muet. Cette première phase
tient d’avantage de l’écrémage que de la sélection
plus pointue. Il y a pas mal de joueurs de la région que nous connaissons
déjà. C’est chez les plus jeunes que nous avons davantage
de surprises. » A l’issue des six journées, près
d’une trentaine de joueurs par année de naissance seront appelés
à participer à une seconde phase de détection, qui aura
lieu au mois de décembre. La sélection sera alors affinée
pour ressortir les tous meilleurs éléments.
Jeux, en ce lundi 30 octobre. Toute l’équipe des éducateurs
du Club à la Croix de Lorraine était ‘réquisitionnée’
pour assurer le bon déroulement de cette opération de détection.
Sur toute la journée, 226 apprentis footballeurs étaient attendus
à la Plaine. Par bonheur, le soleil s’est invité à
la fête pour offrir aux entraîneurs, joueurs et accompagnateurs
une journée agréable. Là où, 25 jours plus tôt,
il eut été impossible de pratiquer un autre sport que le water-polo
!
A l’inverse du climat lorrain, les encadrants n’eurent pas de sautes
d’humeur, Sébastien Muet en tête. Olivier Perrin, sur le
carré de jeu synthétique, fut chargé d’évaluer
la vitesse de chacun à l’aide d’un système de capteurs
(voir ci dessous) tandis que ses collègues supervisaient les rencontres.
2*25 minutes de match pour les équipes formées de 10 joueurs pour
les plus âgés (94 et 95), 7 pour les plus jeunes (96, 97 et 98).
« Il s’agit pour nous de détecter les joueurs ayant un
ou plusieurs points forts, explique Muet. Cette première phase
tient d’avantage de l’écrémage que de la sélection
plus pointue. Il y a pas mal de joueurs de la région que nous connaissons
déjà. C’est chez les plus jeunes que nous avons davantage
de surprises. » A l’issue des six journées, près
d’une trentaine de joueurs par année de naissance seront appelés
à participer à une seconde phase de détection, qui aura
lieu au mois de décembre. La sélection sera alors affinée
pour ressortir les tous meilleurs éléments.
Deux |
Une photo de groupe à l'issue de la séance matinale. |