Il y avait foule, hier, dans l’espace réservé
aux journalistes du côté de Saint-Symphorien. Faute de scoop, il
n’y avait plus grand monde aujourd’hui. « Depuis le
début de cette affaire, explique Muller, je suis sceptique.
Ce que je vois en ce moment conforte l’impression que j’avais, à
savoir que le sensationnel passe avant tout le reste. » Retour
au quotidien. La justice saisie, les Grenats se sont re-concentrés sur
l’essentiel. A savoir le sportif, et ce match à six points qu’ils
doivent négocier en fin de semaine.
La formation troyenne, fraîchement promue en Ligue 1, compte six unités
d’avance sur son homologue messine. D’où la nécessité
de continuer à ne pas perdre dans l’Aube. « Si nous
sommes battus, ajoute le coach messin, nous nous retrouverons
à nouveau au même niveau de difficulté qu’auparavant.
Une équipe qui gagne deux fois d’affilée va mieux. Mais
encore faut-il y parvenir… » Jusqu’à maintenant,
le onze messin n’a jamais réussi une si bonne série que
celle qu’il est en train de réaliser. Malheureusement, son entreprise
de stabilisation risque de souffrir des absences de Dino Djiba et Grégory
Paisley, tous deux blessés face à Lens. « Dino nous
apportait des garanties de solidité », regrette Muller,
qui pourra compter sur les retours de Szabolcs Huszti et Carl Medjani. Le Sénégalais
sera à l’arrêt pendant huit à dix jours, Paisley pendant
trois semaines.
Jeudi soir, le groupe messin partira en mise au vert. Il restera dans l’Aube
jusqu’au coup d’envoi de la rencontre. « Cela n’a
rien à voir avec les soupçons de corruption, précise
Muller. Cela fait une quinzaine de jours que nous l’envisageons
dans la mesure où le match de Troyes est extrêmement important.
Nous voulons mettre toutes les chances de notre côté. Être
ensemble oblige à se focaliser davantage sur le football. »
A l’heure où Maître Vicq s’affaire auprès des
seize joueurs concernés pour compléter son dossier, un tel séjour
ne sera en effet pas de trop pour que les Grenats se consacrent pleinement à
ce en quoi consiste leur métier.
aux journalistes du côté de Saint-Symphorien. Faute de scoop, il
n’y avait plus grand monde aujourd’hui. « Depuis le
début de cette affaire, explique Muller, je suis sceptique.
Ce que je vois en ce moment conforte l’impression que j’avais, à
savoir que le sensationnel passe avant tout le reste. » Retour
au quotidien. La justice saisie, les Grenats se sont re-concentrés sur
l’essentiel. A savoir le sportif, et ce match à six points qu’ils
doivent négocier en fin de semaine.
La formation troyenne, fraîchement promue en Ligue 1, compte six unités
d’avance sur son homologue messine. D’où la nécessité
de continuer à ne pas perdre dans l’Aube. « Si nous
sommes battus, ajoute le coach messin, nous nous retrouverons
à nouveau au même niveau de difficulté qu’auparavant.
Une équipe qui gagne deux fois d’affilée va mieux. Mais
encore faut-il y parvenir… » Jusqu’à maintenant,
le onze messin n’a jamais réussi une si bonne série que
celle qu’il est en train de réaliser. Malheureusement, son entreprise
de stabilisation risque de souffrir des absences de Dino Djiba et Grégory
Paisley, tous deux blessés face à Lens. « Dino nous
apportait des garanties de solidité », regrette Muller,
qui pourra compter sur les retours de Szabolcs Huszti et Carl Medjani. Le Sénégalais
sera à l’arrêt pendant huit à dix jours, Paisley pendant
trois semaines.
Jeudi soir, le groupe messin partira en mise au vert. Il restera dans l’Aube
jusqu’au coup d’envoi de la rencontre. « Cela n’a
rien à voir avec les soupçons de corruption, précise
Muller. Cela fait une quinzaine de jours que nous l’envisageons
dans la mesure où le match de Troyes est extrêmement important.
Nous voulons mettre toutes les chances de notre côté. Être
ensemble oblige à se focaliser davantage sur le football. »
A l’heure où Maître Vicq s’affaire auprès des
seize joueurs concernés pour compléter son dossier, un tel séjour
ne sera en effet pas de trop pour que les Grenats se consacrent pleinement à
ce en quoi consiste leur métier.