Jusqu’à maintenant, Metz n’avait jamais
mené au score. Cela s’est vu ce soir au Vélodrome. Les hommes
de Muller avaient fait le plus dur en trouvant l’ouverture par leur homme
en forme, Sébastien Renouard. Dès la onzième minute, le
jeune milieu avait profité d’un coup-franc mal dégagé
par la défense olympienne pour exécuter Carrasso d’une frappe
puissante ricochant sur la transversale (0-1, 11°). Metz venait de plonger
le Vélodrome dans la stupeur. Fort de cette avance, le temps allait forcément
jouer pour lui. Seulement voilà, si Grégory Wimbée s’occupait
des deux premières réponses locales apportées par Gimenez
(15°) puis Niang (16°), sa formation manquait de maîtrise. En
rendant trop vite le ballon à son adversaire, elle subissait la pression
locale. Et sur un coup de pied arrêté botté par Ribéry,
Déhu profitait de la passivité de la défense messine pour
égaliser (1-1, 25°). Dommage, jusque là, celle-ci avait fait
preuve du sérieux et de l’abnégation nécessaires
pour tenir ! Et les offensives locales baissaient ensuite en intensité.
Grégory Proment était le seul à se procurer une occasion
avant la mi-temps. Son coup-franc passait par dessus le mur mais Carrasso était
à la parade (35°). Du coup, les deux formations rejoignaient les
vestiaires sur un score nul.
On ne peut pas dire que la pause ait fait du bien aux Grenats. Le second acte
à peine débuté, Oruma s’infiltrait dans la défense
messine. Grégory Wimbée ne pouvait que repousser sa frappe dans
les pieds de Ribéry qui donnait l’avantage aux siens (2-1, 46°).
Une bien mauvaise entame que les Messins ne parvinrent pas à compenser
par la suite. Les hommes de Muller baissaient le pied physiquement. A l’heure
de jeu, Koke aurait pu aggraver le score. C’était sans compter
un excellent retour de Mehdi Méniri. Ce n’était toutefois
que partie remise. Dix minutes plus tard, Mamadou Niang, le deuxième
ex-pensionnaire du FC Metz enfonçait les visiteurs grâce à
un bon service de Koke (3-1, 70°). Dès lors, les affaires lorraines
semblaient bien mal engagées. Samir Nasri aurait pu donner à la
défaite des airs de déroute mais son action individuelle se terminait
par une frappe au dessus (78°). Quant à Grégory Proment, son
second coup-franc de la soirée passait à côté (79°).
Rien n’était plus marqué jusqu’au terme de la partie.
Metz reste donc lanterne rouge à l’issue de cette neuvième
journée de Ligue 1…
mené au score. Cela s’est vu ce soir au Vélodrome. Les hommes
de Muller avaient fait le plus dur en trouvant l’ouverture par leur homme
en forme, Sébastien Renouard. Dès la onzième minute, le
jeune milieu avait profité d’un coup-franc mal dégagé
par la défense olympienne pour exécuter Carrasso d’une frappe
puissante ricochant sur la transversale (0-1, 11°). Metz venait de plonger
le Vélodrome dans la stupeur. Fort de cette avance, le temps allait forcément
jouer pour lui. Seulement voilà, si Grégory Wimbée s’occupait
des deux premières réponses locales apportées par Gimenez
(15°) puis Niang (16°), sa formation manquait de maîtrise. En
rendant trop vite le ballon à son adversaire, elle subissait la pression
locale. Et sur un coup de pied arrêté botté par Ribéry,
Déhu profitait de la passivité de la défense messine pour
égaliser (1-1, 25°). Dommage, jusque là, celle-ci avait fait
preuve du sérieux et de l’abnégation nécessaires
pour tenir ! Et les offensives locales baissaient ensuite en intensité.
Grégory Proment était le seul à se procurer une occasion
avant la mi-temps. Son coup-franc passait par dessus le mur mais Carrasso était
à la parade (35°). Du coup, les deux formations rejoignaient les
vestiaires sur un score nul.
On ne peut pas dire que la pause ait fait du bien aux Grenats. Le second acte
à peine débuté, Oruma s’infiltrait dans la défense
messine. Grégory Wimbée ne pouvait que repousser sa frappe dans
les pieds de Ribéry qui donnait l’avantage aux siens (2-1, 46°).
Une bien mauvaise entame que les Messins ne parvinrent pas à compenser
par la suite. Les hommes de Muller baissaient le pied physiquement. A l’heure
de jeu, Koke aurait pu aggraver le score. C’était sans compter
un excellent retour de Mehdi Méniri. Ce n’était toutefois
que partie remise. Dix minutes plus tard, Mamadou Niang, le deuxième
ex-pensionnaire du FC Metz enfonçait les visiteurs grâce à
un bon service de Koke (3-1, 70°). Dès lors, les affaires lorraines
semblaient bien mal engagées. Samir Nasri aurait pu donner à la
défaite des airs de déroute mais son action individuelle se terminait
par une frappe au dessus (78°). Quant à Grégory Proment, son
second coup-franc de la soirée passait à côté (79°).
Rien n’était plus marqué jusqu’au terme de la partie.
Metz reste donc lanterne rouge à l’issue de cette neuvième
journée de Ligue 1…
9ème journée de
Ligue 1, Marseille 3-1 Metz (1-1)
Stade Vélodrome, samedi 24 septembre 2005
Arbitre : Monsieur Chapron
Les avertissements :
Metz : Huszti (50°), Béria (91°)
Les buts :
Marseille : Déhu (25°), Ribéry (46°), Niang (70°)
Metz : Renouard (11°)
Les équipes :
Metz : Wimbée - Béria, Borbiconi, Méniri, Bassong, Huszti
- Morisot (Cherif Touré 58°), Proment, Renouard - Gueye, Ahn (Zewlakow
70°)
Marseille : Carrasso - Ferreira, Déhu (Beye, 36°), Meïté,
Taiwo - Oruma, Lamouchi (Nasri 70°), Cana, Ribéry - Niang, Gimenez
(Koke 45°)