Qu’arrive t-il donc aux Messins lorsqu’ils rejoignent
une pelouse ? A Nancy, il avait fallu moins d’une minute pour voir l’ouverture
du score. A Marseille, Ribéry avait donné l’avantage aux
siens en tout début de seconde période. Cette fois encore, les
Lorrains ont encaissé un but de Fernando dès le retour des vestiaires
! En laissant filer Darcheville côté droit, les hommes de Muller
ont anéanti les efforts qu’ils avaient consenti lors de la première
période. Débordante de bonne volonté, la formation messine
avait réussi quelques enchaînements de bon aloi même s’ils
n’avaient pas suffi à inquiéter Ulrich Ramé. Dès
la cinquième minute, Renouard héritait d’ailleurs d’un
corner au second poteau mais sa reprise instantanée passait au dessus.
Sous l’impulsion de leur capitaine, roublard et bien en jambes, ils faisaient
jeu égal avec leurs hôtes du soir. Ceux-ci attendirent la 37ème
minute pour se manifester via une frappe lointaine de Bruno Cheyrou, au dessus.
La réponse messine intervint par Zewlakow. Le Polonais ponctuait d’une
frappe audacieuse mais non cadrée un mouvement intéressant des
siens (40°). Bien que volontaire, le onze grenat ne parvenait pas à
déséquilibrer le bloc bordelais. Solides, les Girondins ont usé
de leur expérience et de leur puissance physique pour frapper au bon
moment.
Lors des prémices du second acte, Darcheville a revêtu son costume
de bourreau du Club à la Croix de Lorraine. Un coup d’accélérateur
et en centre en retrait mirent Fernando dans les meilleures dispositions pour
marquer (0-1, 46°). Et quelques minutes plus tard, Metz frisait la correctionnelle.
Le coup-franc botté par Denilson terminait sa course sur le poteau de
Wimbée (49°). Comme si la tâche n’était pas suffisamment
ardue, le onze grenat perdit même Mehdi Méniri dans la bataille
peu après l’heure de jeu. Sanctionné de deux avertissements,
il quittait les siens la tête basse. En bon guerriers, ceux-ci jetèrent
toutes leurs forces dans la bataille, Joël Muller y lança N’Diaye
puis Gueye mais cela ne changea rien. La frappe en force d’Obraniak depuis
le côté droit passa à côté du but, celle de
Ouadah fut rattrapée par Ramé. Bref, rien ne permit aux Messins
d’alléger leur bilan après dix rencontres : quatre points
et aucune victoire. Aussi dur à croire qu’il l’était
de le prévoir.
une pelouse ? A Nancy, il avait fallu moins d’une minute pour voir l’ouverture
du score. A Marseille, Ribéry avait donné l’avantage aux
siens en tout début de seconde période. Cette fois encore, les
Lorrains ont encaissé un but de Fernando dès le retour des vestiaires
! En laissant filer Darcheville côté droit, les hommes de Muller
ont anéanti les efforts qu’ils avaient consenti lors de la première
période. Débordante de bonne volonté, la formation messine
avait réussi quelques enchaînements de bon aloi même s’ils
n’avaient pas suffi à inquiéter Ulrich Ramé. Dès
la cinquième minute, Renouard héritait d’ailleurs d’un
corner au second poteau mais sa reprise instantanée passait au dessus.
Sous l’impulsion de leur capitaine, roublard et bien en jambes, ils faisaient
jeu égal avec leurs hôtes du soir. Ceux-ci attendirent la 37ème
minute pour se manifester via une frappe lointaine de Bruno Cheyrou, au dessus.
La réponse messine intervint par Zewlakow. Le Polonais ponctuait d’une
frappe audacieuse mais non cadrée un mouvement intéressant des
siens (40°). Bien que volontaire, le onze grenat ne parvenait pas à
déséquilibrer le bloc bordelais. Solides, les Girondins ont usé
de leur expérience et de leur puissance physique pour frapper au bon
moment.
Lors des prémices du second acte, Darcheville a revêtu son costume
de bourreau du Club à la Croix de Lorraine. Un coup d’accélérateur
et en centre en retrait mirent Fernando dans les meilleures dispositions pour
marquer (0-1, 46°). Et quelques minutes plus tard, Metz frisait la correctionnelle.
Le coup-franc botté par Denilson terminait sa course sur le poteau de
Wimbée (49°). Comme si la tâche n’était pas suffisamment
ardue, le onze grenat perdit même Mehdi Méniri dans la bataille
peu après l’heure de jeu. Sanctionné de deux avertissements,
il quittait les siens la tête basse. En bon guerriers, ceux-ci jetèrent
toutes leurs forces dans la bataille, Joël Muller y lança N’Diaye
puis Gueye mais cela ne changea rien. La frappe en force d’Obraniak depuis
le côté droit passa à côté du but, celle de
Ouadah fut rattrapée par Ramé. Bref, rien ne permit aux Messins
d’alléger leur bilan après dix rencontres : quatre points
et aucune victoire. Aussi dur à croire qu’il l’était
de le prévoir.
La feuille de match
10ème journée de Ligue 1, Metz 0-1 Bordeaux (0-0)
Arbitre : Monsieur Ledentu
15263 spectateurs
Le but :
Bordeaux : Fernando (46°)
Les avertissements :
Metz : Méniri (54° et 64°)
Bordeaux : Planus (44°), Fernando (68°)
Exclusion :
Metz : Méniri (64°)
Les équipes :
Metz : Wimbée – Béria, Méniri,
Borbiconi, Huszti – Renouard (N’Diaye, 60°), Ouadah, Proment,
Obraniak – Ahn (Gueye, 78°), Zewlakow (Bassong, 66°)
Bordeaux : Ramé – Planus, Afanou,
Jurietti – Faubert, Cheyrou, Mavuba, Fernando, Denilson (Francia 91°)
– Darcheville (Perea 78°), Chamakh (Laslandes, 61°)