Originale, la composition du onze grenat ce soir au Vélodrome.
Joël Muller avait laissé entendre que des jeunes joueurs pouvaient
être sollicités à l’occasion de ce seizième
de finale. Ce fut bien le cas, le Sud-Coréen Kang et Hemza Mihoubi se
voyant offrir leur première titularisation de la saison de même
que Flavien Belson. Cet assemblage de jeunesse a dans un premier temps manqué
de cohésion. Et Marseille, sur sa première occasion de but, en
a profité pour ouvrir la marque. Dès le début de la partie,
Maoulida se débarrassait d’Huszti côté droit avant
de centrer pour Pagis, qui se jouait de Medjani puis Wimbée (1-0, 7°).
Les Grenats n’ont donc pas rangé cette mauvaise habitude au placard.
Toutefois, après une première mi-temps relativement insipide,
juste relevée par un centre de Kang que faillit reprendre Youla, ils
prirent les choses en main. Marseille, fort de son but d’avance, pouvait
se contenter de voir venir mais sa façon de contenir son adversaire n’était
pas infaillible. D’autant que Maoulida manquait son face à face
avec Wimbée (68°). Du coup, la formation mosellane s’enhardit
et alla inquiéter Carasso. Deux fois, Youla s’échappa côté
droit. Ses deux tentatives furent avortées par le portier local (72°,
87°). Dans la confusion qui suivit la seconde, Monsieur Derrien aurait d’ailleurs
pu accorder un penalty à Ruslan Pimenov, accroché par Beye dans
la surface. Au lieu de ça, le décrié Gimenez doubla la
marque, tout en roublardise, dans les arrêts de jeu (2-0, 90°+1).
Encore une fois, les Messins n’ont pas semblé réaliser une
prestation inférieure à celle de leur adversaire. Mais il n’est
pas nouveau que cette équipe ne peut se payer le luxe de partir avec
un handicap.
Joël Muller avait laissé entendre que des jeunes joueurs pouvaient
être sollicités à l’occasion de ce seizième
de finale. Ce fut bien le cas, le Sud-Coréen Kang et Hemza Mihoubi se
voyant offrir leur première titularisation de la saison de même
que Flavien Belson. Cet assemblage de jeunesse a dans un premier temps manqué
de cohésion. Et Marseille, sur sa première occasion de but, en
a profité pour ouvrir la marque. Dès le début de la partie,
Maoulida se débarrassait d’Huszti côté droit avant
de centrer pour Pagis, qui se jouait de Medjani puis Wimbée (1-0, 7°).
Les Grenats n’ont donc pas rangé cette mauvaise habitude au placard.
Toutefois, après une première mi-temps relativement insipide,
juste relevée par un centre de Kang que faillit reprendre Youla, ils
prirent les choses en main. Marseille, fort de son but d’avance, pouvait
se contenter de voir venir mais sa façon de contenir son adversaire n’était
pas infaillible. D’autant que Maoulida manquait son face à face
avec Wimbée (68°). Du coup, la formation mosellane s’enhardit
et alla inquiéter Carasso. Deux fois, Youla s’échappa côté
droit. Ses deux tentatives furent avortées par le portier local (72°,
87°). Dans la confusion qui suivit la seconde, Monsieur Derrien aurait d’ailleurs
pu accorder un penalty à Ruslan Pimenov, accroché par Beye dans
la surface. Au lieu de ça, le décrié Gimenez doubla la
marque, tout en roublardise, dans les arrêts de jeu (2-0, 90°+1).
Encore une fois, les Messins n’ont pas semblé réaliser une
prestation inférieure à celle de leur adversaire. Mais il n’est
pas nouveau que cette équipe ne peut se payer le luxe de partir avec
un handicap.
16ème de finale de la
Coupe de France, Marseille 2-0 Metz (1-0)
Stade Vélodrome, mercredi 1 février
Arbitre : Monsieur Derrien
Les avertissements :
Metz : Mihoubi, Ouadah, Proment
Les buts :
Marseille : Pagis (7°), Gimenez (90°+1)
Les équipes :
Marseille : Carasso – Ferreira, Déhu,
Andre Luis, Cantarei – Lamouchi (Deruda 46°), Cana, Delfim (Beye 77°),
Ribéry – Maoulida (Gimenez 88°), Pagis
Metz : Wimbée – Béria, Borbiconi,
Medjani, Huszti (N’Diaye 66°) – Kang (Obraniak 79°), Proment,
Belson, Mihoubi – Ouadah (Pimenov 75°) – Youla