Sans la suspension de Franck Signorino, il n’aurait
peut-être pas été convié à la partie. Ce week-end,
face à Monaco, la titularisation d’Avezac avaient des airs de concours
de circonstances. Au final, sa prestation n’a sans doute pas laissé
Jean Fernandez indifférent.
Dans un souci d’équilibre, celui-ci avait choisi de revenir à
une défense axiale composée de trois éléments, deux
hommes étant chargés d’occuper les couloirs : Jean-Philippe
Caillet et Christophe Avezac. Résultat, le dernier nommé figure
dans l’équipe-type de la dixième journée selon le
journal « France Football ». S’il n’est pas le messie
offensif des Grenats, le milieu de terrain en provenance de la ville rose a
apporté quelques solutions intéressantes. Sur son aile, il a défendu,
débordé, provoqué la défense adverse avec plus ou
moins de succès. L’ouverture du score aurait pu venir de lui, mais
le poteau a repoussé la reprise de Sébastien Renouard…«
J’aime bien avoir de l’espace comme cela était le cas face
à Monaco. J’ai toujours joué sur le côté gauche.
Ce rôle n’est pas si différent de ce que je fais d’habitude.
»
Pas dépaysé, donc, Avezac a également pu compter tout au
long du match sur Franck Ribéry pour lui faciliter la tâche. «
C’est facile de jouer avec lui. Techniquement, il est très à
l’aise et il donne de bons ballons. C’est un régal d’être
à ses côtés. »
Malgré le sentiment du devoir accompli, l’amertume subsistait dans
le discours du milieu messin. La faute à ses satanés poteaux qui
ont privé à nouveau ses coéquipiers d’une deuxième
victoire à Saint-Symphorien. La première, acquise face à
Nantes lors de l’ouverture du championnat, commence à prendre de
l’âge. Un bilan mi-figue mi-raisin qui n’inquiète pas
outre mesure Avezac : « Certes, nous n’avons gagné
qu’une fois à domicile. Mais il ne faut pas oublier que nous avons
rencontré des équipes de haut de tableau à Saint-Symphorien.
Déjà, on ne perd pas, c’est une bonne chose. Mais c’est
vrai que nous avons hâte de renouer avec la victoire à domicile.
» Pour y parvenir, il faudra attendre encore un peu. Deux semaines,
au moins, avant d’accueillir Bastia. La formation corse a jusqu’à
maintenant effectué un parcours similaire à celui des Grenats.
A savoir qu’elle est montée très vite et redescend lentement.
De leur côté, les hommes de Fernandez ont en tout cas accompli
une première marche, psychologique, vers un retour en forme. «
Nous sortions d’une série négative ou nous avions pris pas
mal de buts, conclut Avezac. Je ne pense pas que nous avions
besoin de nous rassurer mais cette bonne prestation va nous donner du baume
au cœur pour la suite. »
peut-être pas été convié à la partie. Ce week-end,
face à Monaco, la titularisation d’Avezac avaient des airs de concours
de circonstances. Au final, sa prestation n’a sans doute pas laissé
Jean Fernandez indifférent.
Dans un souci d’équilibre, celui-ci avait choisi de revenir à
une défense axiale composée de trois éléments, deux
hommes étant chargés d’occuper les couloirs : Jean-Philippe
Caillet et Christophe Avezac. Résultat, le dernier nommé figure
dans l’équipe-type de la dixième journée selon le
journal « France Football ». S’il n’est pas le messie
offensif des Grenats, le milieu de terrain en provenance de la ville rose a
apporté quelques solutions intéressantes. Sur son aile, il a défendu,
débordé, provoqué la défense adverse avec plus ou
moins de succès. L’ouverture du score aurait pu venir de lui, mais
le poteau a repoussé la reprise de Sébastien Renouard…«
J’aime bien avoir de l’espace comme cela était le cas face
à Monaco. J’ai toujours joué sur le côté gauche.
Ce rôle n’est pas si différent de ce que je fais d’habitude.
»
Pas dépaysé, donc, Avezac a également pu compter tout au
long du match sur Franck Ribéry pour lui faciliter la tâche. «
C’est facile de jouer avec lui. Techniquement, il est très à
l’aise et il donne de bons ballons. C’est un régal d’être
à ses côtés. »
Malgré le sentiment du devoir accompli, l’amertume subsistait dans
le discours du milieu messin. La faute à ses satanés poteaux qui
ont privé à nouveau ses coéquipiers d’une deuxième
victoire à Saint-Symphorien. La première, acquise face à
Nantes lors de l’ouverture du championnat, commence à prendre de
l’âge. Un bilan mi-figue mi-raisin qui n’inquiète pas
outre mesure Avezac : « Certes, nous n’avons gagné
qu’une fois à domicile. Mais il ne faut pas oublier que nous avons
rencontré des équipes de haut de tableau à Saint-Symphorien.
Déjà, on ne perd pas, c’est une bonne chose. Mais c’est
vrai que nous avons hâte de renouer avec la victoire à domicile.
» Pour y parvenir, il faudra attendre encore un peu. Deux semaines,
au moins, avant d’accueillir Bastia. La formation corse a jusqu’à
maintenant effectué un parcours similaire à celui des Grenats.
A savoir qu’elle est montée très vite et redescend lentement.
De leur côté, les hommes de Fernandez ont en tout cas accompli
une première marche, psychologique, vers un retour en forme. «
Nous sortions d’une série négative ou nous avions pris pas
mal de buts, conclut Avezac. Je ne pense pas que nous avions
besoin de nous rassurer mais cette bonne prestation va nous donner du baume
au cœur pour la suite. »