Samedi dernier, Meniri a refoulé les pelouses. La
formation de Francis De Taddéo a tout de même du concéder
le match nul face à Forbach. Auteur de deux passes décisives,
le défenseur des Grenats reste cependant mesuré concernant son
retour au sein du onze de départ, samedi prochain face à Monaco.
« Ca s’est bien passé, explique t-il.
Je ressens encore quelques douleurs au niveau de la cheville. C’est certainement
du au fait que je marchais différemment pour compenser. Par conséquent,
j’ai encore une certaine retenue dans mon jeu. J’espère être
à 100% samedi. Nous verrons bien comment cela évolue tout au long
de la semaine. Mais s’il n’y a pas d’amélioration,
cela risque d’être difficile. Je me vois mal jouer sur une jambe
face à Monaco. » Bien sûr, Jean Fernandez accueillerait
à bras ouverts le retour de sa tour de contrôle défensive
puisqu’il doit déjà tirer une croix sur Franck Signorino,
suspendu. Malgré cela, il n’est pas sûr que le Franco-Algérien
soit titularisé. Cela fera tout de même deux mois ce jeudi que
le solide défenseur est éloigné des terrains. S’il
ne peut pas s’engager à 100% dans les duels, Meniri n’est
forcément plus le même…
En attendant de retrouver la Ligue 1, samedi ou plus tard, l’ancien Nancéien
a vécu un douloureux début de saison. Alors que ses coéquipiers
baissaient pied, il était contraint de rester en coulisses, l’âme
en peine. Un sentiment d’impuissance des plus frustrants : «
Vivre les rencontres en tribune est très dur. On est là, à
rien faire… à regarder ses coéquipiers s’enfoncer
sans pouvoir les aider. » Cloué sur son siège,
Mehdi a souffert sans sourciller.
Pour autant, il n’a pas d’explication particulière à
donner à la mauvaise passe des siens. « En début
de saison, nous étions dans une sorte d’euphorie. Il fallait bien
que cela retombe à un moment donné. A Auxerre, nous avions une
défense fortement remaniée. Contre Lille, nous sommes passés
à travers comme cela arrive à chaque équipe durant une
saison. Il n’y à pas d’inquiétude à avoir.
Personnellement, il y a une seule chose qui me gène : nous ne gagnons
pas à domicile. De plus, nous ne marquons pas assez de buts chez nous.
»
Pour retrouver les chemins des filets, l’AS Monaco n’est peut-être
pas le meilleur adversaire. Les Monégasques possèdent en effet
la meilleure défense à l’extérieur du championnat.
Mais pour Meniri, tout reste possible. « Le premier des objectifs
est de ne pas prendre de buts. Après, si nous avons des opportunités
offensives, nous essaierons évidemment de les concrétiser. Ils
ont beaucoup d’internationaux qui reviendront en cours de semaine et quatre
joueurs suspendus (Perez, Rodriguez, Zikos et Maicon). Cela peut jouer en notre
faveur. »
Dernier paramètre pouvant avoir son importance, la volonté décuplée
du petit opposé au gros : « Etant donné que nous
sommes l’un des moins importants budgets de France, nous sommes quasiment
à chaque match le petit. Mais face aux grosses écuries, nous sommes
encore plus motivés. C’est naturel. Je pense que cette coupure
arrivait à point nommé. Le coach a bien fait souffler ses joueurs.
Cela va nous aider pour repartir à zéro. » Pour
Meniri, ce Metz-Monaco sera peut-être également un nouveau départ.
formation de Francis De Taddéo a tout de même du concéder
le match nul face à Forbach. Auteur de deux passes décisives,
le défenseur des Grenats reste cependant mesuré concernant son
retour au sein du onze de départ, samedi prochain face à Monaco.
« Ca s’est bien passé, explique t-il.
Je ressens encore quelques douleurs au niveau de la cheville. C’est certainement
du au fait que je marchais différemment pour compenser. Par conséquent,
j’ai encore une certaine retenue dans mon jeu. J’espère être
à 100% samedi. Nous verrons bien comment cela évolue tout au long
de la semaine. Mais s’il n’y a pas d’amélioration,
cela risque d’être difficile. Je me vois mal jouer sur une jambe
face à Monaco. » Bien sûr, Jean Fernandez accueillerait
à bras ouverts le retour de sa tour de contrôle défensive
puisqu’il doit déjà tirer une croix sur Franck Signorino,
suspendu. Malgré cela, il n’est pas sûr que le Franco-Algérien
soit titularisé. Cela fera tout de même deux mois ce jeudi que
le solide défenseur est éloigné des terrains. S’il
ne peut pas s’engager à 100% dans les duels, Meniri n’est
forcément plus le même…
En attendant de retrouver la Ligue 1, samedi ou plus tard, l’ancien Nancéien
a vécu un douloureux début de saison. Alors que ses coéquipiers
baissaient pied, il était contraint de rester en coulisses, l’âme
en peine. Un sentiment d’impuissance des plus frustrants : «
Vivre les rencontres en tribune est très dur. On est là, à
rien faire… à regarder ses coéquipiers s’enfoncer
sans pouvoir les aider. » Cloué sur son siège,
Mehdi a souffert sans sourciller.
Pour autant, il n’a pas d’explication particulière à
donner à la mauvaise passe des siens. « En début
de saison, nous étions dans une sorte d’euphorie. Il fallait bien
que cela retombe à un moment donné. A Auxerre, nous avions une
défense fortement remaniée. Contre Lille, nous sommes passés
à travers comme cela arrive à chaque équipe durant une
saison. Il n’y à pas d’inquiétude à avoir.
Personnellement, il y a une seule chose qui me gène : nous ne gagnons
pas à domicile. De plus, nous ne marquons pas assez de buts chez nous.
»
Pour retrouver les chemins des filets, l’AS Monaco n’est peut-être
pas le meilleur adversaire. Les Monégasques possèdent en effet
la meilleure défense à l’extérieur du championnat.
Mais pour Meniri, tout reste possible. « Le premier des objectifs
est de ne pas prendre de buts. Après, si nous avons des opportunités
offensives, nous essaierons évidemment de les concrétiser. Ils
ont beaucoup d’internationaux qui reviendront en cours de semaine et quatre
joueurs suspendus (Perez, Rodriguez, Zikos et Maicon). Cela peut jouer en notre
faveur. »
Dernier paramètre pouvant avoir son importance, la volonté décuplée
du petit opposé au gros : « Etant donné que nous
sommes l’un des moins importants budgets de France, nous sommes quasiment
à chaque match le petit. Mais face aux grosses écuries, nous sommes
encore plus motivés. C’est naturel. Je pense que cette coupure
arrivait à point nommé. Le coach a bien fait souffler ses joueurs.
Cela va nous aider pour repartir à zéro. » Pour
Meniri, ce Metz-Monaco sera peut-être également un nouveau départ.