Francis de Taddeo :
«C’est à lui en partie que je dois ma venue à Metz.
Francis est un bourreau de travail qui s’investit vraiment à fond.
Il consacre sa vie au centre de formation et au football. C’est quelqu’un
avec qui l’on peut discuter même si j’ai vécu ma période
au centre comme un moment difficile. Sur le plan physique, les entraîneurs
étaient très exigeants avec nous. Mais une fois sorti du centre
on est vraiment armés pour faire de belles choses.»
Jean Fernandez : «Jean
Fernandez est l’homme de la situation pour le FC Metz. Si l’on a
retrouvé la tête du championnat c’est avant tout grâce
à lui. C’est aussi un homme qui consacre sa vie au football et
qui ne comptera jamais ses heures passées à travailler. Son vécu
dans le milieu du ballon rond lui a donné une grande expérience.»
Stéphane Morisot : «
Moritz est le métronome de la défense. Il est très à
l’aise techniquement, son placement est intelligent et il relance proprement.
Il apporte à la défense son calme et sa sérénité.»
Grégory Proment :
«Greg est l’un des joueurs les plus expérimentés de
l’équipe. Il remplit parfaitement sa fonction de capitaine, pourtant
ce n’est pas quelqu’un d’expansif. Il sera toujours là
pour dispenser des conseils aux jeunes. Il est très à l’aise
techniquement, il voit bien le jeu et se place toujours bien. Et Greg est également
mon passeur favori. De mon côté je contribue à améliorer
ses stats !»
Ludovic Butelle :
«Ludo c’est la fougue et la jeunesse. Il est fort sur sa ligne.
C’est un perfectionniste, quand il fait une erreur il râle et il
s’empoisonne la vie. Il travaille beaucoup et son envie de bien faire
se ressent vraiment. Je suis sûr que Ludo sera un grand gardien.»
Bastia : «C’est
mon premier match chez les pros. J’étais rentré en fin de
rencontre à la place de Louis Saha. Joël Muller m’avait demandé
de jouer au poste d’attaquant pour bloquer les relances entre Casanova
et Morlaye Soumah. J’ai dû toucher deux ballons en tout et pour
tout mais à la fin du match j’avais les yeux grands ouverts, j’étais
comme dans un rêve. Les anciens, Meyrieu et Kastendeuch m’avaient
félicité et même si je n’avais rien prouvé,
j’étais sur un petit nuage.
Bastia c’est aussi mon premier match en tant que titulaire. Joël
Muller m’avait annoncé deux heures avant le match que je débuterais
la rencontre. Là, c’est différent car tu as plus de pression.
Lorsque tu t’échauffes, tu sais déjà que tu vas débuter.»
Daniel Van Buyten :
«Il y en a qui commencent à m’appeler Daniel Van Buyten dans
les vestiaires ! C’est un bon défenseur. Il a un gabarit imposant,
il marque beaucoup de la tête mais il me semble qu’il a débuté
au poste d’attaquant. Son but à Bordeaux était un geste
d’attaquant… et encore je pense que certains spécialistes
l’auraient loupé. Il sent les coups, dès qu’il monte
ce n’est pas pour rien.»
Christophe Borbiconi :
«Il a été mon premier modèle lorsqu’il jouait
à Nancy. Il a vécu toutes les étapes avant moi donc ses
conseils ont toujours été précieux. C’est un grand
professionnel qui ne néglige rien, il a une hygiène de vie stricte.
Quand t’es gamin, c’est normal de vouloir imiter son grand frère.
Mais encore aujourd’hui j’essaye de suivre son exemple.»
Nadia : «Je
lui dois beaucoup. Cela fait 5 ans que l’on est ensemble. Elle m’a
suivi à Martigues alors qu’elle avait un travail sur Metz. Je sais
que cette période a été difficile pour elle. Elle m’a
également soutenu lors de mes blessures ou quand Albert Cartier m’avait
fait savoir qu’il ne comptait pas sur moi. Elle m’aide à
garder les pieds sur terre en cas de besoin. Elle me surveille également
sur le plan diététique. Elle a toujours fait passer ma carrière
avant elle. Elle vient me voir à tous les matches et c’est ma première
supportrice. Donc merci beaucoup Nadia !»