Le but de Rapaic, au retour des vestiaires, peut paraître cruel sur l’ensemble de la partie. Mais elle est surtout le symbole de ce qu’il a manqué au FC Metz pour vaincre le Standard en cette chaude soirée au stade du « FC le Lorrain » d’Arlon : l’efficacité offensive. La ruse dont a fait preuve le Croate aurait sans doute suffi aux Lorrains pour l’emporter, s’ils l’avaient eu de leur côté…
La première mi-temps fut pauvre en occasion. Walasiak, bien lancé par Gueye, hérita de la plus belle mais sa volée passa au dessus (23°). Marichez, ensuite, fut contraint à un fameux réflexe sur sa ligne pour sortir une tête belge prenant le chemin du but. Les deux équipes avaient du mal à faire circuler le ballon sur un terrain inégal. Du coup, Metz se régalait à la récupération. Dans ce secteur, le duo Cardy – Obraniak montre déjà des signes de complémentarité intéressants. Les nombreux corners tirés par le premier faillirent d’ailleurs déboucher sur quelque chose, quand Papiss Cissé réussit à se sortir de la mêlée. Sans succès.
A la mi-temps, les Rouges effectuèrent une série de changements qui leur procura un net regain d’activité. Et permit à Rapaic de marquer, donc, en se jouant de l’alignement de l’arrière-garde messine avant de tromper Marichez d’une frappe soudaine (1-0, 52°).
Bizarrement, cet avantage allait donner de l’air… aux Grenats. Liège reculait au fil des minutes et laissait régulièrement l’initiative du jeu à son adversaire. Du coup, Cheikh Gueye, sur un corner, contraint Renard à une claquette (55°). Puis, bien lancé par son homonyme Babacar, il se présenta seul devant le but mais fut privé de cette occasion pour un hors-jeu… passif d’Aguirre. Le petit péruvien, entré en cours de partie, fit de nouveau parler sa vivacité. Suite à une passe en retrait mal assurée d’un défenseur belge, il dribbla Renard mais ne put redresser son ballon. Pour finir, Cardy plaçait un bon coup-franc par dessus le mur, sans parvenir à tromper Renard.
Des échecs regrettables, puisqu’un match nul aurait eut un impact un peu plus positif sur la confiance des Mosellans. Il n’est toutefois pas l’heure de s’affoler après cette nouvelle défaite. La formation de Francis De Taddeo semble être en train de se trouver une assise défensive. Il lui reste, et c’est peut-être le plus dur, à progresser dans l’animation offensive. Si les deux Sénégalais Gueye et Cissé parviennent à se trouver, les liaisons avec Walasiak ne sont pas encore au point. Wilmer Aguirre est arrivé à Metz directement après avoir remporté le titre de champion du Pérou. Il n’a pas effectué le stage à Vichy et a déjà du jus. Mais ce n’est pas le cas de tous ses coéquipiers, dont certains ne sont pas au mieux au niveau de la vivacité. Sur ce dernier point, les Messins devraient se bonifier d’ici le match de Gueugnon, qui sera précédé d’une semaine d’entraînement plus légère. En attendant, il leur reste un second déplacement en Belgique pour effectuer les derniers réglages : A Namur, samedi à 20h, ils affronteront le FC Brussels d’Albert Cartier.
Amical : Standard 1-0 Metz
A Arlon, mercredi 19 juillet 2006
Environ 3000 spectateurs
But de Rapaic pour Liège à la 52ème
Avertissement à Cheikh Gueye 40ème
La première mi-temps fut pauvre en occasion. Walasiak, bien lancé par Gueye, hérita de la plus belle mais sa volée passa au dessus (23°). Marichez, ensuite, fut contraint à un fameux réflexe sur sa ligne pour sortir une tête belge prenant le chemin du but. Les deux équipes avaient du mal à faire circuler le ballon sur un terrain inégal. Du coup, Metz se régalait à la récupération. Dans ce secteur, le duo Cardy – Obraniak montre déjà des signes de complémentarité intéressants. Les nombreux corners tirés par le premier faillirent d’ailleurs déboucher sur quelque chose, quand Papiss Cissé réussit à se sortir de la mêlée. Sans succès.
A la mi-temps, les Rouges effectuèrent une série de changements qui leur procura un net regain d’activité. Et permit à Rapaic de marquer, donc, en se jouant de l’alignement de l’arrière-garde messine avant de tromper Marichez d’une frappe soudaine (1-0, 52°).
Bizarrement, cet avantage allait donner de l’air… aux Grenats. Liège reculait au fil des minutes et laissait régulièrement l’initiative du jeu à son adversaire. Du coup, Cheikh Gueye, sur un corner, contraint Renard à une claquette (55°). Puis, bien lancé par son homonyme Babacar, il se présenta seul devant le but mais fut privé de cette occasion pour un hors-jeu… passif d’Aguirre. Le petit péruvien, entré en cours de partie, fit de nouveau parler sa vivacité. Suite à une passe en retrait mal assurée d’un défenseur belge, il dribbla Renard mais ne put redresser son ballon. Pour finir, Cardy plaçait un bon coup-franc par dessus le mur, sans parvenir à tromper Renard.
Des échecs regrettables, puisqu’un match nul aurait eut un impact un peu plus positif sur la confiance des Mosellans. Il n’est toutefois pas l’heure de s’affoler après cette nouvelle défaite. La formation de Francis De Taddeo semble être en train de se trouver une assise défensive. Il lui reste, et c’est peut-être le plus dur, à progresser dans l’animation offensive. Si les deux Sénégalais Gueye et Cissé parviennent à se trouver, les liaisons avec Walasiak ne sont pas encore au point. Wilmer Aguirre est arrivé à Metz directement après avoir remporté le titre de champion du Pérou. Il n’a pas effectué le stage à Vichy et a déjà du jus. Mais ce n’est pas le cas de tous ses coéquipiers, dont certains ne sont pas au mieux au niveau de la vivacité. Sur ce dernier point, les Messins devraient se bonifier d’ici le match de Gueugnon, qui sera précédé d’une semaine d’entraînement plus légère. En attendant, il leur reste un second déplacement en Belgique pour effectuer les derniers réglages : A Namur, samedi à 20h, ils affronteront le FC Brussels d’Albert Cartier.
Amical : Standard 1-0 Metz
A Arlon, mercredi 19 juillet 2006
Environ 3000 spectateurs
But de Rapaic pour Liège à la 52ème
Avertissement à Cheikh Gueye 40ème
L’équipe messine : Marichez – Béria, Delhommeau, Léoni, Bassong, C. Gueye – Cardy (Diakité 80°), Obraniak (Bocandé 80°) – Walasiak (Aguirre 55°), Cissé (Gomez 55°), B. Gueye