Dommage que Strasbourg ait marqué si tôt. Les
solutions nouvelles offertes par les deux recrues messines du mercato auraient
peut-être eu plus d’impact sur le score final. Vite mené,
Metz n’a pas non plus eu le loisir de courir très longtemps derrière
le score. Avant de rejoindre les vestiaires, l’affaire était pliée.
Encore plus au retour, lorsque Méniri subit les foudres de Monsieur Piccirillo.
Du coup, le développement de cette ligne offensive rafraîchie a
pris du plomb dans l’aile. Partie remise. Malgré tout, Pimenov
a surpris Joël Muller. « J'ai été étonné
par sa capacité à tenir si longtemps sur un bon rythme. »
Aligné d’entrée, le Russe a laissé sa place à
un quart d’heure du terme de la partie. Au passage, il aura eu le temps
de délivrer une ballon idéal que Souleymane Youla n’a malheureusement
pas converti en égalisation. « Si j’avais marqué,
ça aurait peut-être changé la physionomie du match, regrette
celui-ci. C’était un match difficile, je pense que nous avons
fait une bonne prestation dans l’ensemble mais que nous n’avons
pas eu de réussite. Cette rencontre était capitale et nous l’avons
perdue. Mais cette semaine, nous en avons une autre contre Nantes. Il faudra
tout faire pour gagner ce match. »
Arrivé le jour de la réception de Saint-Etienne, Youla arguait
de la courte avance du club lorrain sur Strasbourg pour justifier son choix
de rejoindre la Moselle. Aujourd’hui, évidemment, cela ne tient
plus. Mais l’enthousiasme du Guinéen demeure intact. «
Il nous reste seize matches, il faut aller au bout des choses et ne pas baisser
les bras. Cela finira par payer. Avant Strasbourg, je n’avais fait que
deux séances d’entraînement avec mes coéquipiers,
c’est pourquoi nous n’avions pas encore les automatismes. Je trouve
que Ruslan Pimenov a fait une bonne prestation. Cette semaine, je vais pouvoir
apprendre à mieux le connaître. Tout cela doit s’améliorer
avec le temps. »
Toujours souriant, le transfuge de Besiktas peut apporter un souffle nouveau
à une formation messine moribonde. Sa mobilité est une qualité
intéressante dont son entraîneur espère tirer partie :
« Il a mis du rythme. C’est agréable de pouvoir disposer
de cette disponibilité. Si nous pouvons travailler ses relations avec
le reste de l’équipe tout au long de la semaine, cela peut être
bénéfique. » En Turquie, Youla évoluait aux
côtés du brésilien Ailton, qui faisait office de point de
fixation. Un rôle qui correspond au profil d’Hervé Tum, souvent
obligé de mener seul le combat à la pointe de l’attaque.
Avec les retours probables de Ouadah et Obraniak en pourvoyeurs de ballon, l’équipe
messine semble mieux armée pour aller tromper la vigilance de Landreau.
Largement distancée dans la course au maintien, elle sait que le minuscule
espoir qui subsiste ne tient qu’à un fil. Et qu’elle n’a
sans doute pas les capacités de le faire grandir sans une montée
en puissance de ses deux recrues.
solutions nouvelles offertes par les deux recrues messines du mercato auraient
peut-être eu plus d’impact sur le score final. Vite mené,
Metz n’a pas non plus eu le loisir de courir très longtemps derrière
le score. Avant de rejoindre les vestiaires, l’affaire était pliée.
Encore plus au retour, lorsque Méniri subit les foudres de Monsieur Piccirillo.
Du coup, le développement de cette ligne offensive rafraîchie a
pris du plomb dans l’aile. Partie remise. Malgré tout, Pimenov
a surpris Joël Muller. « J'ai été étonné
par sa capacité à tenir si longtemps sur un bon rythme. »
Aligné d’entrée, le Russe a laissé sa place à
un quart d’heure du terme de la partie. Au passage, il aura eu le temps
de délivrer une ballon idéal que Souleymane Youla n’a malheureusement
pas converti en égalisation. « Si j’avais marqué,
ça aurait peut-être changé la physionomie du match, regrette
celui-ci. C’était un match difficile, je pense que nous avons
fait une bonne prestation dans l’ensemble mais que nous n’avons
pas eu de réussite. Cette rencontre était capitale et nous l’avons
perdue. Mais cette semaine, nous en avons une autre contre Nantes. Il faudra
tout faire pour gagner ce match. »
Arrivé le jour de la réception de Saint-Etienne, Youla arguait
de la courte avance du club lorrain sur Strasbourg pour justifier son choix
de rejoindre la Moselle. Aujourd’hui, évidemment, cela ne tient
plus. Mais l’enthousiasme du Guinéen demeure intact. «
Il nous reste seize matches, il faut aller au bout des choses et ne pas baisser
les bras. Cela finira par payer. Avant Strasbourg, je n’avais fait que
deux séances d’entraînement avec mes coéquipiers,
c’est pourquoi nous n’avions pas encore les automatismes. Je trouve
que Ruslan Pimenov a fait une bonne prestation. Cette semaine, je vais pouvoir
apprendre à mieux le connaître. Tout cela doit s’améliorer
avec le temps. »
Toujours souriant, le transfuge de Besiktas peut apporter un souffle nouveau
à une formation messine moribonde. Sa mobilité est une qualité
intéressante dont son entraîneur espère tirer partie :
« Il a mis du rythme. C’est agréable de pouvoir disposer
de cette disponibilité. Si nous pouvons travailler ses relations avec
le reste de l’équipe tout au long de la semaine, cela peut être
bénéfique. » En Turquie, Youla évoluait aux
côtés du brésilien Ailton, qui faisait office de point de
fixation. Un rôle qui correspond au profil d’Hervé Tum, souvent
obligé de mener seul le combat à la pointe de l’attaque.
Avec les retours probables de Ouadah et Obraniak en pourvoyeurs de ballon, l’équipe
messine semble mieux armée pour aller tromper la vigilance de Landreau.
Largement distancée dans la course au maintien, elle sait que le minuscule
espoir qui subsiste ne tient qu’à un fil. Et qu’elle n’a
sans doute pas les capacités de le faire grandir sans une montée
en puissance de ses deux recrues.